
Luberon & Provence: si Barack Obama avait pu….
Pas facile d’être un ex-président car toutes les obligations attachées à la fonction ne tombent pas d’un coup avec la fin du mandat. Il y a, à plus forte raison pour une grande nation comme les Etats-Unis, un devoir de représentation mais aussi la continuité d’une ligne diplomatique non dite dans l’attente de, peut être, d’autres échéances. Ainsi, Barack Obama a-t-il pu choisir la Provence et le pays d’Avignon pour ses vacances en famille de juin 2019 mais il n’a pas organisé son séjour comme tout citoyen normal l’aurait fait.
Car arriver en avion privé avec une puissante escorte des services de sécurité américains à laquelle s’ajoute une quarantaine de policiers et gendarmes français, dépasse largement le cadre du « voyage privé » annoncé par la communication de la famille Obama. Pas moins d’une dizaine de policiers français, rompus à la protection rapprochée des personnalités, ont même été intégrés à la garde rapprochée américaine. Utile surtout pour tenir à l’écart les curieux et une bonne centaine de journalistes lancés sur leurs traces. Passons pour l’intimité du séjour.
Si Obama avait pu réellement voyager incognito, il aurait choisi une propriété plus intime et secrète du parc du Luberon, La Cour des Sens, où l’on se retire à l’abri d’un parc arboré en toute intimité. Le lieu, sacré « coup de coeur » du Guide des chambres d’hôtes du Figaro en 2016, côté 9,8 par Booking (avis vérifiés) et distingué par Marie-Dominique Perrin dans son reportage pour France 2, Art & Décoration ou Le Journal des femmes, n’a pas son pareil pour ressourcer des clients amis, parfois connus du monde des affaires ou des arts, mais en recherche d’authenticité et de discrétion. Dans le triangle d’or entre Gordes, Fontaine de Vaucluse et L’Isle sur la Sorgue où les filles du couple présidentiel sont venues chiner et voir le marché provençal, Michèle et Barack, s’ils avaient été moins connus et obligés par le protocole, n’auraient pas trouvé meilleur refuge.

Le printemps en Provence, c’est à La Cour des Sens
Cerisiers en fleurs, nature en éveil, marchés paysans et terrasses ombragées de retour en Luberon, la nouvelle saison commence en beauté à La Cour des Sens
Il y a déjà une palpitation estivale dans l’air de Provence. Le Sud, c’est le gage d’une avance de trois ou quatre semaines sur le Nord, la probabilité d’un soleil réconfortant après les brumes hivernales dans un lieu où il s’invite 300 jours par an. Et cela n’est pas une galéjade de méridional, même si la chaleur du contact coule de source comme une huile d’olive sur une salade ou un plat frémissant.
A La Cour des Sens, nous devons tout d’abord à nos clients un grand merci. Merci pour leurs appréciations enthousiastes sur les réseaux, ce qui nous vaut une note encore améliorée de 9,8 sur Booking. Pour ceux qui ne nous connaissent pas encore, nous sommes entre L’Isle-sur-la-Sorgue, Gordes et Fontaine-de-Vaucluse, dans un triangle d’or où une infinité de curiosités, musées, festivals et lieux touristiques se trouvent à moins d’une heure alentour.
Mais sur place ou presque, entre Luberon, Monts du Vaucluse et Alpilles, vous aurez des dizaines de choses à faire si vous parvenez à quitter la douceur de notre propriété et de son parc d’un hectare agrémenté de divers jardins avec vaste piscine et jacuzzi où se réfugier. Avignon, son Palais des Papes et son Festival de Théâtre l’été ou Aix-en-Provence la trépidante, Nimes, Marseille sont des voisines urbaines à découvrir également. Mais il ne faut pas rater le coup d’envoi de la saison de brocante et d’antiquités (notamment la 106 e Foire internationale Arts&You de Pâques et celle du 15 août) à l’Isle-sur-la-Sorgue.
On sait peu que, tout à côté de La Cour des Sens, la petite ville très animée toute l’année par son marché provençal et ses maisons au bord des canaux de la Sorgue est la 3e place européenne du commerce des antiquités et de la brocante. Elle accueille traditionnellement les chineurs du monde entier pour ce qui sera sa 106e édition cette année à Pâques où les enfants laisseront les parents chiner tranquillement en participant à une chasse aux oeufs dissimulés dans les stands. Alors, c’est bien le moment de venir à La Cour des Sens. Pour réserver, c’est ici!

NICOLAS DE STAËL A LAGNES, EN PROVENCE
Jusqu’au 23 septembre 2018
Hôtel de Caumont – Centre d’Art
On ne sait pas mais si le Luberon a attiré et attire encore bon nombre d’artistes et de peintres, Lagnes a été le lieu où Nicolas de Staël a établi son atelier et produit l’essentiel des toiles consacrée à la Provence et à la Sardaigne. Ce n‘etait que justice que la région lui rende hommage en rassemblant pour la première fois le résultat de ce foisonnement créatif.
Organisée par Culturespaces, l’exposition Nicolas de Staël en Provence se tient jusqu’au 23 septembre 2018 à l’Hôtel de Caumont – Centre d’art. A travers 71 peintures et 26 dessins provenant de prestigieuses collections internationales publiques et privées, cette exposition se concentre, pour la première fois et de manière exclusive, sur le développement de l’œuvre de Nicolas de Staël lors de son séjour en Provence, entre juillet 1953 et octobre 1954.

C’est au retour de ses promenades que Nicolas de Staël s’emparait fiévreusement de ses toiles en son atelier de Lagnes pour peindre à partir de croquis
La période provençale de Nicolas de Staël marque un tournant essentiel, aussi bien dans sa vie que dans son œuvre indique le commissariat de l’exposition.
« Entre juillet 1953 et juin 1954, l’artiste y puise une nouvelle source d’inspiration. La découverte de la lumière du Midi, la beauté exceptionnelle de ce pays, la rencontre amoureuse d’une femme et l’épreuve de la solitude qui lui permet de répondre à sa future exposition à New York à la galerie Paul Rosenberg, sont autant d’expériences qui nourrissent son imaginaire et le rythme spectaculaire de sa production artistique, une véritable fureur de peindre (voir la vidéo portrait de l’homme et de l’artiste). La renommée internationale de Nicolas de Staël prend son élan au cœur de la Provence. »
À Lagnes, en juillet 1953, le regard du peintre s’intensifie (voir video témoignage de sa petite fille). Les paysages sont saisis au plus près de leur motif avec une attention portée sur l’évolution de la lumière au fil de la journée. En août, le peintre voyage jusqu’en Sicile. Son appréhension des paysages, des sites archéologiques et des musées, lui permet, une fois de retour à Lagnes, de mettre en chantier une série de tableaux parmi les plus importants de sa carrière, notamment à partir des notes prises dans ses carnets à Fiesole, Agrigente, Selinonte et Syracuse. À la même époque, son intérêt pour l’étude du nu trouve son expression la plus accomplie dans les grands tableaux de figures et de nus qui dialoguent souvent avec le paysage.
Au terme de cette année intense de travail, le peintre a la certitude, en 1954, d’avoir donné le maximum de sa force.
Préparant son exposition à New-York, il écrit à Paul Rosenberg : « Je vous donne là, avec ce que vous avez, de quoi faire la plus belle exposition que je n’ai jamais faite. » L’exposition Nicolas de Staël en Provence rend compte des plus hautes envolées picturales du peintre. Ici, la précision d’un regard révèle la nature dans son expression la plus inventive indique le Centre d’Art, Hotel de Caumont.
Comment tout ce beau monde se retrouva dans le charmant et discret village de Lagnes, certes dans le parc du Luberon si préservé et pourtant tout proche de la très animée et provençale Isle-sur-la-Sorgue? Tout simplement parce qu’il y a là le domaine des Camphoux, la maison de Fernand et Marcelle Mathieu. Le poète René Char, natif de l’Isle, les considère comme sa famille d’adoption et il les présente ainsi à tous ses amis venus admirer les lieux: Georges Braque, Albert Camus, Nicolas de Staël, Martin Heidegger…
Avec Marcelle Mathieu, le poète parcourt les collines alentour. Au cabanon du Rébanqué, propriété des Mathieu, il écrit la seconde partie des Matinaux. Camus séjourne dans le Vaucluse du 17 au 26 octobre 1958 pour régler l’achat de sa future maison de Lourmarin. Et Nicolas de Staël peint fiévreusement de retour à l’atelier après avoir parcouru les collines alentour avec son carnet de croquis. Les lumières, les impressions, les couleurs sont gravées dans sa tête et restituées avec une force prodigieuse où la figuration s’estompe derrière l’éclat et la matière.
Nicolas de Staël à l’Hôtel de Caumont, Centre d’Art à Aix-en-Provence, Ouvert de 10 h à 19 h (21h 30 le vendredi). Entrée 14 euros et 7 euros (7-17 ans)

En Provence entre Luberon, Alpilles et Ventoux, tout ce qu’il faut voir….
Attention, danger. Venus là simplement par curiosité, certains visiteurs y sont restés plusieurs jours, plusieurs mois, voire une vie entière tant les séductions de l’endroit sont diverses et nombreuses. Ne faire qu’y passer serait une erreur et après y avoir goûté, on revient toujours en Luberon. Haut lieu de Provence, à 30 minutes d’Avignon, autant d’Aix-en-Provence et 45 minutes de l’aéroport de Marseille, La Cour des Sens est une demeure d’hôtes installée dans un ancien domaine viticole bicentenaire. Idéalement située à l’épicentre de multiples hauts lieux provençaux, elle a ouvert en 2015 après un an de travaux. Elle a été saluée l’année suivante par Le Figaro Magazine comme l’une des 200 plus belles chambres d’hôtes de France, l’un des deux coups de coeur en Provence du magazine. Elle se situe dans le Parc même du Luberon, à Lagnes, là où l’immense peintre Nicolas de Staël installa son atelier en 1953. Il y fréquenta René Char à L’Isle-sur-la-Sorgue, Dora Maar et Picasso à Ménerbes, Albert Camus à Lourmarin. Un lieu de séjour tranquille, à l’écart des foules, dans un village authentique et dans un domaine classé à la note maximale « 5 clés » par Clévacances et le Ministère du Tourisme.
Le Village des Bories, mystère d’un habitat rural, à 10 km de La Cour des Sens
Indissociable de Gordes qu’il précède de 3 km sur la route venant de La Cour des Sens, domaine d’hôtes à Lagnes, ce hameau d’une vingtaine de constructions aux formes typiques de l’endroit témoigne d’un habitat paysan dont on ne sait, aujourd’hui encore, s’il était temporaire ou permanent. Liées sans doute à la transhumance des troupeaux et abris de bergers, ces bories vieilles de 2 à 5 siècles furent habitées jusqu’au 19e siècle. Elle furent élevées, sans aucun mortier, selon un ordonnancement savant en forme de voute dont certaines ressemblent à des igloos de pierre. Car il suffisait de se baisser pour se saisir des lauzes et feuilles de calcaire se détachant du rocher pour ériger un abri résistant au vent froid comme à la chaleur, derrière des parois épaisses. Une aire de battage pour le grain, des puits creusés dans le rocher et une très belle vue sur Bonnieux parsèment la visite entre chêne verts et garrigue.
Intérêt: A voir absolument Temps passé: 1 heure Distance de La Cour des Sens: 10 km
L’Isle-sur-la-Sorgue, la Venise provençale, à 4 km de La Cour des Sens
Ce ne sont pas des gondoles mais des plates, appelées ici « Nego-Chin », de fines barques à fond plat qui servent encore aux riverains des nombreux cours d’eau. Irriguant depuis la résurgence de Fontaine de Vaucluse – la bien nommée – ils valent à L’Isle-sur-la-Sorgue son nom. Les plates servent deux fois l’an pour des joutes aquatiques et un pittoresque marché sur l’eau comme aux temps anciens où les maraichers venaient vendre en ville leur production de fruits et légumes. Ces derniers sont restés et ils déferlent sur les étals le dimanche matin pour un marché provençal très pittoresque qui envahit toutes les vieilles rues de l’Isle. Depuis La Cour des Sens, tout à côté à Lagnes, c’est le moment idéal pour la flânerie, les petits bars aux terrasses ombragées et une belle sélection de restaurants où la fraicheur du produit est mise en avant. Et les prix savent y rester sages comparés à ceux des villages huppés du Luberon. Il ne faut évidemment pas rater les centaines d’antiquaires et brocanteurs, installés à demeure dans des marchés beaucoup plus avenants que les puces parisiennes. C’est le paradis de la chine (grande foire internationale à Pâques et le 15 août) où l’on fait volontiers halte pour un verre de rosé ou une assiette mitonnée et servie sous la tonnelle.
Intérêt: Vaut le voyage Temps passé: la journée Distance de La Cour des Sens: 4 km
Ménerbes: adoubé par les artistes et les écrivains, à 13 km de La cour des Sens
Au palmarès des plus beaux villages du Luberon, Ménerbes tient une place à part. Le village bâti sur un promontoire domine la vallée du Calavon et possède un petit côté secret, qu’il faut savoir découvrir depuis La Cour des Sens, domaine d’hôtes à Lagnes. Il reçut la visite fréquente d’Albert Camus, venu de Lourmarin, de Pablo Picasso qui y séjourna dans la maison de sa muse, Dora Maar, de Nicolas de Staël qui s’y installa après avoir peint fébrilement 150 toiles à Lagnes. C’est aussi le cadre du célèbre et savoureux roman de Peter Mayle « Une année en Provence » à lire absolument lors de votre prochain séjour. Depuis la place de l’Horloge et l’hôtel de ville jusqu’à l’église Saint Luc à l’autre extrémité du village avec sa superbe terrasse, suivre la rue principale qui passe à portée de l’hotel D’Astier de Montfaucon, siège de la maison de la truffe et du vin du Luberon. Intéressante à visiter, elle propose des dégustations dans son bar à vin et écoule les bonnes bouteilles d’une cinquantaine de vignerons au prix de la cave.
Intérêt: A voir absolument Temps passé: de 2 heures à une vie Distance de La Cour des Sens: 13 km
Bonnieux: un escarpement urbanisé, à 21 km de La Cour des Sens
La route bute au bas de la colline puis s’enroule en lacets jusqu’en haut du village. Ne vous laissez pas aspirer par le ruban venant de La cour des Sens, domaine d’hôtes à Lagnes, et rangez plutôt votre voiture sur les parkings du dessous. La promenade s’annonce agréable, de place en fontaine puis en ruelle de pierre aux pentes raides, mais nécessite du jarret. Et un bon couvre-chef car, sous le soleil, vous en repartirez pour aller sillonner Petit et Grand Luberon à la croisée desquels il se trouve. Un passage vouté livrera le chemin du haut Bonnieux qui toise Lacoste non loin de là.
Intérêt: à voir Temps passé: 1 heure Distance de La Cour des Sens: 21 km
Lacoste: cousu main, à 18 km de La Cour des Sens
Ce village soigneusement restauré, comme neuf, porte l’empreinte d’un véritable entrepreneur, passionné par sa valorisation, le couturier Pierre Cardin. Les maisons en pierre de Lacoste – les carrières réputées sont au dessus du village et accueillent en saison des spectacles de théâtre – s’étagent jusqu’à son château à la vue imprenable, défiant Bonnieux qui lui fait face. Il se visite et évoque à ceux qui s’en souviennent une histoire sulfureuse dont on ne trouvera aucune trace. Ayant appartenu en effet à la famille du marquis de Sade, on laissera flotter, au travers des quelques pièces remeublées par Cardin, son imaginaire sur les « Cent vingt journées de Sodome ». On verra ici et là de grandes sculptures et installations qui sont le résultat des travaux de futurs artistes américains, venus payer ainsi leur résidence d’été en Luberon.
Intérêt: à voir Temps passé: 1 heure Distance de La Cour des Sens: 18 km
Roussillon: rouge de plaisir, à 20 km de La Cour des Sens
Colorado, Etats-Unis, Roussillon, France, la comparaison, toutes proportions gardées, va s’imposer à beaucoup de visiteurs qui connaissent souvent mieux le majestueux site américain que l’extraordinaire curiosité des mines d’ocre en Luberon. Le village, avec ses façades en camaïeu d’ocres, séduit par l’homogénéité de ses constructions et la palettes des teintes qui, comme un nuancier, sont extraites dans les ex-mines du voisinage. Car c’est de cette terre fortement teintée, du jaune au rouge foncé, que sont extraits les pigments nécessaires à la confection des peintures. Pour visiter ici, il est nécessaire d’abandonner la voiture dont on sera surpris qu’elle se trouve en zone bleue (seule teinte autre, partagée avec le ciel) place du Pasquier ou alentour où tout est payant. Mais cela vaut la peine car le spectacle est incroyable. Le sentier des ocres, partant du centre, livre en 1 heure un sensationnel parcours poétique où cheminées de fées éclatantes et défilés secrets sont coiffés par le vert éclatant de la végétation. Inoubliable.
Intérêt: vaut le voyage Temps passé: 3 heures Distance de La Cour des Sens: 20 km
Lourmarin: pour la galerie, à 20 km de La Cour des Sens
Au débouché de la superbe route venant d’Apt, sinuant entre gorges et falaises et seul passage routier au travers du massif entre le nord et le sud du Luberon, Lourmarin épate la galerie. Faisant face à son château situé de l’autre côté d’un grand champ, le village apprêté comme un sou neuf semble prêt pour le chevalet du peintre. Ancienne résidence d’Albert Camus et d’Henri Bosco qui y sont d’ailleurs inhumés, Lourmarin aligne les terrasses avenantes de bistrots typiques du midi, quelques très bonnes tables et des galeries d’Art, antennes de grands marchands venus de Paris, de Suisse, d’Allemagne et d’ailleurs. Un petit marché international de grande qualité qui vous rappellera la ville et permettra peut être de ramener un (coûteux) souvenir d’une autre tenue que le colifichet habituel.
Intérêt: vaut le détour Temps passé: 2 heures au moins Distance de La Cour des Sens: 20 km
Oppède-le-Vieux: bâti comme un roc, à 10 km de La Cour des Sens
S’il est vieux, c’est qu’il y a un Oppède-le-jeune, bâti plus bas dans la plaine alors que le village haut a été déserté en 1912. Une sottise que quelques passionnés rassemblés autour de Michel Leeb et des habitants amoureux du lieu ont entrepris de rectifier en réhabilitant ce village jusqu’à son église perchée, située en haut d’un chemin escarpé. Il émane de ce groupement de maisons solides, assemblées autour de la place du bourg, une rusticité honnête où l’on sent revivre le Luberon d’autrefois. A découvrir, à pied, en vélo ou en voiture depuis La Cour des Sens, domaine d‘hotes à Lagnes. Ne pas manquer, sur le chemin, de s’arrêter à Coustellet pour visiter le passionnant musée de la lavande et flâner, le dimanche matin, au marché paysan où la profusion des fruits et légumes, le plus souvent de culture bio, salaisons, huiles d’olive, miels et vins du Luberon sont labellisés par le Parc du Luberon.
Intérêt: vaut le détour Temps passé: 1 à 2 heures Distance de La Cour des Sens: 10 km
Fontaine de Vaucluse: la Provence verte, à 3 km de La Cour des Sens
Vallis Clausa, vallée close, c’est le premier nom donné au site de Fontaine et qui va inspirer au département son nom de Vaucluse. Connue depuis des temps ancestraux pour sa spectaculaire résurgence gonflée au printemps par la fonte des neiges, Fontaine de Vaucluse est blottie au fond d’un cirque étroit d’où surgissent les eaux claires de la Sorgue. Celles-ci irriguent par un savant réseau de canaux toutes les cultures alentour. Fascinant et mystérieux, le flot déverse des entrailles de la terre sans que l’on sache d’où il vienne. Même le Commandant Cousteau et un sous marin tentèrent de l’explorer, sans succès. En revanche, les plongeurs remontent des pièces anciennes témoignant d’un lieu de pèlerinage ancestral et la promenade abritée remontant depuis la place de la Colonne jusqu’au gouffre est particulièrement recommandée par temps chaud. Le poète Pétrarque (il a son musée) y séjourna et on pourra visiter « Le monde souterrain », un musée reconstituant grottes et concrétions si l’on pas le temps d’aller au Thor voir les grottes de Thouzon. A ne pas manquer, tout à côté de La Cour des Sens, domaine d’hôtes à Lagnes, les nombreuses promenades à pied, à cheval, en vélo, le parcours d’accrobranche (tous âges), la descente de la Sorgue en canoë-kayak, voire même le superbe Golf de Saumane.
Intérêt: A voir absolument, Temps passé: 2 heures, plus si affinités, Distance de La cour des Sens: 3 km
Les Alpilles: c’est le Sud, à 20 km de La Cour des Sens
De l’autre côté de la Durance, venant du Luberon mais très proche pourtant de La Cour des Sens, Domaine d’hôtes à Lagnes, les Alpilles proposent un concentré de Provence digne d’une carte postale. Les noms chantent, Eygalières et son panorama de La Caume, Saint Rémy en parfait village provençal lové en rond, Maussane, Fontvielle et le moulin de Daudet, Les Baux où il faut arpenter les ruelles du village perché, aller se perdre ensuite dans le Val d’Enfer et prendre enfin la fraicheur des carrières. Un bon prétexte, les superbes expositions à la Carrière des Lumières qui, par de gigantesques projections animées sur les immenses parois, vous installent au coeur des oeuvres de grands artistes pour souvent les redécouvrir. Actuellement Picasso et les maitres espagnols et le Flower Power illustrent l’éclectisme des thèmes abordés.
Intérêt: Vaut le voyage, Temps passé: 1 journée, Distance de La Cour des Sens: 20 km
Le Ventoux: le géant de Provence
Dominant les monts du Vaucluse, le plateau de la lavande à Sault (floraison juin-juillet), l’abbaye de Sénanque, les collines couvertes d’oliviers centenaires, les somptueuses Gorges de la Nesque, le Ventoux pyramidal et solitaire défie chaque année de nombreux cyclistes venus de loin pour tenter de le gravir. Véritable Graal du vélo, c’est aussi une formidable promenade qui, par Sault, Bédoin ou Malaucène permet par temps clair de jouir de vues époustouflantes au sommet. On pourra y être décoiffé par le vent, surpris par la température à 1 909 m et il n’est d’ailleurs accessible qu’à la belle saison. Mais les chemins qui y mènent proposent, en se restaurant dans les chalets à mi pente (il y a une station de ski!), des paysages et des sites de toute beauté. Parfois rudes au nord, plus avenants au sud ou à l’ouest vers les superbes dentelles de Montmirail, on traverse là parmi les plus beaux terroirs viticoles de la région. Une escapade grandeur nature non loin de La Cour des Sens, Domaine d’hôtes à Lagnes, à ne rater sous aucun prétexte.
Intérêt: A voir absolument, Temps passé: 1 journée, Distance de la Cour des Sens: 44 km

Antiquités: à Pâques, direction la chine à l’Isle-sur-la-Sorgue
C’est une tradition qui réunit dans le Luberon parents amateurs de brocante et enfants lancés dans une trépidante chasse aux oeufs!
Réconcilier toutes les générations autour d’une fabuleuse balade hors des sentiers battus, c’est le rendez-vous immanquable que propose chaque année la « Venise provençale ». Ses attraits sont bien connus autour des ses bras de Sorgue aux eaux vives et transparentes, semant ses moulins avec méthode, ses ruelles serpentant entre placettes secrètes ou enjouées, boutiques foisonnantes ou terrasses pittoresques jusqu’à la collégiale fraichement restaurée. Mais de marché provençal en cours aux antiquités ou brocante de trottoir le dimanche, l’Isle-sur-la-Sorgue marque d’un cachet particulier le weekend de Pâques qui fête aussi le printemps. Autre capitale française de l’antiquité et de la brocante après Paris, l’Isle-sur-la-Sorgue est un marché d’amateurs éclairés et de professionnels qui viennent du monde entier toute l’année.
Mais ils se donnent volontiers rendez-vous à Pâques et à la mi-aout pour une « installation » autour du meuble de collection de toutes époques, des objets de curiosité et de la décoration. En faisant coup double, en spécialistes avisés, le Jeudi 29 mars 2018 avec le mythique déballage d’Avignon, organisé par SODAF, le matin. Et l’après midi à partir de 14 h, tous les marchands vont pouvoir continuer leurs achats à l’Isle-sur-la-Sorgue pour un marché qui leur est réservé. Le grand public aura son heure ensuite et même, pour marquer le début des festivités, une parade inaugurale le samedi 31 mars à 11h30 sur l’avenue des 4 Otages.
Pour la 104ème édition, on peut s’attendre à quelques surprises d’un défilé qui se terminera au village des villages, réunissant au coeur du Parc Gautier les antiquaires installés à l’année. Mais pas que cela car la ville toute entière y accueille des marchands spécialisés où toutes les époques et les genres coexistent pour un joyeux capharnaüm plus ordonné qu’il n’y paraît.
Brocante parentale et chasse aux œufs enfantine
La trouvaille pour les non initiés, – mais, gare, d’autres sont avertis – tient le dimanche 1er avril dans une chasse aux œufs organisée pour les enfants. Le lapin de pâques va cacher des centaines de petits œufs pour le plus grand bonheur des petits et des grands ! Dissimulés sur l’ensemble du périmètre de la foire, les œufs sont à dénicher par les chasseurs en culottes courtes quand les parents en feront tout autant, mais pour l’objet de brocante et de collection de leurs rêves (RDV à partir de 11h !).
Les chasseurs de brocante et d’antiquités visiteront pour une mise en appétit L’Appart du Village. C’est un logement composé de 3 chambres dont le mobilier présents est entièrement à vendre ! Décoré exclusivement par les marchands du Village des Antiquaires de la Gare, il est composé de 3 atmosphères différentes : industriel, 18ème siècle et vintage. L’éclectisme est bien là, à L’Isle-sur-la-Sorgue avec un pied dans la passé et un autre bien ancré dans le présent. Et quelle plus belle composition que celle qui, s’évadant des figures imposées, mélange les époques.
Carte Blanche au Free Market de Paname
La preuve en est que l’édition 2018 (voir l’agenda de cette édition) habituellement dédiée à la brocante et l’antiquité sort un peu plus encore des sentiers battus avec sa carte blanche donnée aux créateurs. Avis aux amateurs de raretés, d’antiquités et autres dingueries : pour cette carte blanche – et parallèlement à une riche sélection d’antiquaires et brocanteurs spécialisés -, le Free Market de Paname vous donne rendez-vous du 30 mars au 2 avril avec le meilleur des créateurs de demain !
On pourra aussi s’informer voire participer aux émissions d’Antiques Café & You tous les matins à 11h, relayées en direct sur facebook ! Celles ci se déroulent devant la maison Gautier et accueillera marchands et chineurs voulant faire partager leur expérience. Après avoir arpenté le Parc Gautier, sera venue l’heure d’aller fouiner au Village des Antiquaires de la Gare, à la galerie Dongier puisque l’Isle-sur-la-Sorgue compte à l’année pas moins de 200 antiquaires.
Et bien au delà, dans toute la ville dont, jusqu’au 22 avril, les vitrines des boutiques proposent des mises en scènes autour de l’antiquité : instruments de musique, cuivre, objets de brocante. De quoi entamer une plongée de rêve dans l’univers toujours changeant et renouvelé de « Antiques Art & You ». Et, pourquoi pas, prolonger votre séjour dans le Parc du Luberon dans un refuge secret de standing, un domaine d’hôtes hors normes, La Cour des Sens à Lagnes. Un domaine salué unanimement par la presse et les guides de chambres d’hôtes de charme.

Art&Décoration aime La Cour des Sens en Luberon
Le très réputé magazine de décoration est venu à LCDS pour réaliser un reportage complet, à ne pas rater dans les kiosques
Se sentir comme une étudiant à l’orée d’un examen scolaire capital. C’est dans cet état d’esprit que nous avons reçu, après un premier contact téléphonique, les envoyés spéciaux de Art&Décoration à La Cour des Sens. La demande est, quoi qu’espérée, inattendue car le domaine que nous avons réveillé d’un long engourdissement provençal est avant tout à notre image. Et si nous l’avons conçu, avec notre décoratrice Annabelle Fesquet, un lieu qui nous ressemble et rassemble bon nombre d’objets de décoration personnels, nous n’imaginions pas faire un jour un gros sujet dans un magazine aussi réputé qu’Art&Décoration.
Pensez donc, Art&Décoration, c’est une sorte de commandeur du bon goût sur papier glacé, une revue qui compte aujourd’hui plus que jamais et qui fait les réputations. Du haut de ses….120 ans et de ses 240 pages, le magazine aborde les tendances nouvelles et décrypte ce que sera le design demain sans oublier d’honorer celui d’hier. Mais ancré dans notre vie, Art&Décoration se veut le reflet d’une société française qui évolue plus vite qu’elle ne pense tout en lui offrant, par sa lecture mensuelle, les codes du bon goût et du savoir faire.
Le faire savoir est aussi sa mission et lorsque Céline Hassen, la journaliste et Édith Andreotta, la photographe arrivent au Domaine, nous sommes remplis d’humilité en nous demandant ce qu’elles vont bien faire ici. Elles nous ont vite rassurés en prenant les choses en main, situant après un tour du propriétaire les « spots » qu’elles entendent exploiter pour leur reportage. Nous leur avons confié les clés du domaine, elles ont ensuite organisé leurs prises de vues à leur façon.
Bougeant un meuble ici, déplaçant un cadre là, dressant une table sous la tonnelle, l’inspiration fusait, Céline et Andreotta glissant d’un bout à l’autre de nos chambres d’hôtes et de la maison de maitre convertie en location de vacances. Quelle n’a pas été notre surprise lorsque nous avons découvert un superbe article courant sur 9 pages dans le numéro d’avril 2017 de Art&Décoration. Le regard d’Édith, la photographe, est neuf, le stylisme de Céline valorise encore un lieu que nous pensions connaitre de fond en comble et qu’elles nous révèlent autrement. Un seul regret pour elles, celui de n’avoir pu utiliser les nombreux plans du parc sortant de l’hiver mais à LCDS, on revient tôt ou tard pour profiter de la nature et d’une situation exceptionnelle.
Art&Décoration N° 522 d’avril 2017, en vente 4,60€ dans tous les kiosques

Printemps en Luberon : oh les beaux jours !
Tous les sens déjà en éveil, La Cour des Sens, sacrée meilleure chambre d’hôtes en Provence, rouvre les portes de son domaine au coeur du parc du Luberon.
Avec plusieurs semaines d’avance sur les contrées du nord et la magie de l’heure d’été qui prolonge les soirées à La Cour des Sens, la Provence se teinte déjà des nuances de l’été, faisant croire que ça y est, c’est arrivé.
Il faut dire que les premiers sursauts du thermomètre passent volontiers les 20° et qu’il faut se pincer et regarder le calendrier pour voir à quelle vitesse ici on s’extirpe de l’hiver.
Soleil caressant
La végétation ne s’y trompe pas, les amandiers sont en fleurs et les bourgeons des cerisiers commencent à éclater un peu partout dans ce Luberon béni. Les randonneurs à pied, à cheval, en vélo, en canoë ne s’y trompent pas non plus et s’élancent de vallons en collines où les rayons du soleil sont encore caressants. De quoi découvrir, au travers des nombreuses activités (Golf, montgolfière, accrobranche, randonnée en 2 CV ou voiture de collection, équitation, escalade etc.) que nous pouvons vous proposer, les chemins de traverse que ne sillonnent que les connaisseurs.
A pied, à cheval, en vélo, en ballon…
Comme nous en avons pris l’habitude, nous mettons à disposition (sur réservation) des vélos de route ou des VTT électriques qui permettront de choisir entre la ballade et le véritable circuit de découverte. Nos partenaires vous offrent « le cadre » adapté à vos envies et vous proposeront, accompagnés d’un guide qualifié du cru ou en solo, les itinéraires qui, en rayonnant autour de La Cour des Sens, vous permettront de découvrir le petit ou le grand Luberon, les Monts du Vaucluse ou les pentes aux échappées belles du Ventoux ou des Alpilles. C’est simple, nous sommes à l’épicentre de tout cela et avec un accès facile à l’autoroute (20 mn.) et la gare TGV d’Avignon (30 min.).
Nos amis cyclistes étrangers viennent de loin pour moduler leur séjour entre vélo aux heures fraiches du jour et réconfort ensuite au domaine avec massages, jacuzzi et piscine chauffée (mi-avril). Voire petite séance de fitness en fin d’après midi afin de se mettre en condition pour le verre de rosé au jour déclinant. Pour toute la famille, les enfants, les grands parents, les activités et visites proposées à proximité sont nombreuses et à consulter sur le site de nos partenaires en Vaucluse. Ou immédiatement autour du domaine, en Luberon. Pour mieux organiser encore votre séjour, n’hésitez pas à nous appeler en direct (+33 4 90 24 50 45) ou à consulter nos meilleurs tarifs directement sur notre site.

Festival d’Avignon: la Cour des Sens en refuge off
Pour sa 70e édition, le festival rassemblera encore toutes les formes de théâtres et de spectacles. A ne pas manquer depuis le refuge provençal d’un domaine d’hôtes d’exception, la Cour des Sens.
Pour une mise en scène, c’est une mise en scène. Sur le plateau théâtral constitué par l’un de plus beaux domaines d’hôtes de Provence, sous les monts du Vaucluse et dans le parc du luberon, le décor est en place. Prêt à accueillir tous ceux qui voudront se jeter dans la grande marmite des spectacles d’Avignon et qui, exténués mais heureux, viendront recharger leur énergies à moins de 30 minutes du Palais des Papes.
C’est une distance de sécurité, un cordon sanitaire qui relie l’authenticité et la grandeur paisible d’un ancien domaine viticole à l’agitation bouillonnante du plus grand festival de théâtre en Europe. Pensez donc, aux pieds majestueux du Palais des Papes et jusqu’à Vedène et, sur l’autre rive, Villeneuve-Lez-Avignon, il y a déjà deux festivals en une manifestation puisqu’au « In » officiel répond comme en écho le « Off » avec toutes ses expérimentations et ses audaces parfois sacrilèges.
Chaque année, la Cité des Papes secoue sa torpeur estivale et devient une ville-théâtre. Elle joue de son patrimoine architectural pour dresser, autour des tréteaux, une vingtaine de lieux insolites ou inattendus (capacité de 50 à 2000 personnes) où, toujours, la magie opère sur les dizaines de milliers de spectateurs accourus de l’Europe entière. Pour 2016 et la 70 e édition de la manifestation créée par l’immense Jean Villar, le programme promet une quarantaine de spectacles majeurs, français et étrangers, pour environ 300 représentations.
Soyez In, soyez Off
Il est vivement conseillé de réserver car, sur place, ce ne sera plus possible (voir programme et détails pratiques). Avignon délivre en effet entre 120 000 et 140 000 billets pour les spectacles payants et accueille entre 20 000 et 30 000 spectateurs dans ses manifestations gratuites. Mais ce n’est pas tout car, parallèlement au Festival « In » d’Avignon, le « Off » accueille (du 7 au 30 juillet) dans des lieux plus ou moins improvisés pas moins de 1 000 compagnies qui se produisent de leur propre initiative dans une centaine de lieux différents. Ils provoquent des moments incroyables et riches en émotions qu’il faut savoir vivre en découvreur, avant les autres.
« La salle d’un théâtre est déjà en soi une représentation de la cité » dit Olivier Py, organisateur du Festival. « Il n’y a qu’à regarder la splendide agora de la Cour du Palais des Papes pour se donner une image plus belle de notre société et y trouver architecture d’espérances. À Avignon, nous brisons la fatalité. Le public, sa ferveur, sa soif spirituelle opposent à tous les déterminismes un désir d’inconnu et d’imprescrit. Oui nous ne savons pas ce qui vient… La culture est différente de l’érudition qui croit savoir, de l’analyse matérielle qui prétend savoir et de la fausse autorité du pragmatisme qui affirme savoir. »
En vigie de ces nouvelles tendances, à la fois « in » par sa proximité d’Avignon et « off » par la quiétude du domaine niché dans le parc même du Luberon, La Cour des Sens, l’une des plus belles chambres d’hôtes de France selon Le Figaro Magazine constitue, avec sa maison de vacances et ses installations de standing, le refuge idéal pour jouer de tous les théâtres.
Se renseigner sur les Festivals:
par téléphone: + 33 (0)4 90 14 14 14
– du 13 juin au 5 juillet, du lundi au vendredi de 10h à 17h
- à partir du 6 juillet, tous les jours, de 10h à 19h
par Internet: www.festival-avignon.com/fr/reservations-tarifs
Festival Off: www.avignonleoff.com/
Réserver à la Cour des Sens:
par téléphone: +33 (0) 4 90 24 50 45
par internet: lacourdessens.com

A TABLE ! La gastronomie dans tous ses sens en Luberon
La Cour des Sens est un théâtre des parfums et des saveurs. C’est la raison pour laquelle nous confions l’élaboration d’un diner ou d’un événement uniquement à un chef à domicile. Nous respectons trop le travail en cuisine pour offrir une simple table d’hôte.
C’est donc uniquement à un professionnel que nous laissons nos fourneaux et le soin d’élaborer les repas servis à notre table, chef de bistronomie comme Delphine Jullien ou grand chef étoilé comme Jean-Jacques Prévôt (Cavaillon). Le diner peut être intime ou festif selon vos envies, (voir nos conditions ci-dessous) ou encore la conclusion d’un atelier à thème qui aura précédé.
Il pourra aussi être agrémenté d’un atelier de dégustation vins, d’ici ou d’ailleurs, proposé par notre sommelier Guido Vacca passé par les plus grandes maisons et conseil de nos amis du « 17 Place aux Vins ». Il vous donnera les clés pour reconnaitre les cépages, décrypter les assemblages et vous démontrer la richesses des crus méridionaux entre Vallée du Rhône Nord, Chateauneuf du Pape, Luberon, Coteaux d’Aix et Bandol. Mais bien au-delà si vous le souhaitez, comme ses origines italiennes y invitent.
Tout type d’événement peut être organisé dans le cadre magique de la propriété, de ses jardins ou de sa piscine. Voire même tout le domaine si vous souhaitez le privatiser. Consultez-nous pour vos simples envies, les ateliers cuisine et dégustation ou plus, pour vos occasions spéciales.
Pour cette saison, voici un exemple de menu:
Papeton d’aubergine coulis de tomate Roma, tuile au parmesan
Curry jaune de poulet au lait de coco/ riz camarguais, Tian de légumes confits au pesto de basilic
Pavlova aux fruits rouges de saison, ganache montée » opalys » vanille de Madagascar
Conditions à retenir : six personnes minimum et sur réservation, à partir de 44 euros/personne, boissons en sus

Le Luberon sauvage, à vol d’oiseau
Vous ne connaissez pas encore le Luberon? Découvrez en video ce paradis provençal, berceau d’une culture qui attire chaque année 7 millions de visiteurs.
Le Luberon est serti comme un joyau entre de grandes villes dont les noms font voyager déjà : L’Isle-sur-la-Sorgue, Cavaillon, Avignon, Carpentras, Apt, Pertuis ou Manosque. C’est pourtant un territoire secret dont, entre collines et montagnes, rivières et spectaculaires Colorados, les aspects les plus sauvages restent à découvrir au départ de La Cour des Sens, point de départ idéal pour rayonner à 360°. Colonisées par la vigne, les arbres fruitiers et les cultures bio qui font la réputation des marchés paysans locaux, les vallées sont connues des touristes qui peuvent venir et revenir sans jamais faire deux fois la même chose. Mais au delà des figures imposées par les guides, il y a tout le reste à découvrir comme nous le laisse entrevoir cette vidéo aérienne de Luberon.fr, une fascinante invitation à partir à l’aventure.
Nous nous rendons tout d’abord à Bonnieux, découvrir le Pont Julien bordé par la piste cyclable du Calavon qui permet de découvrir les plus beaux villages du Nord Luberon. De quoi pousser ensuite jusqu’à Rustrel pour se faufiler entre gorges et cheminées d’ocres, un contraste saisissant entre terres rouges et jaunes et végétation aux verts intenses. Nous vous invitons à découvrir ensuite Caseneuve et son Oratoire monumental et partons ensemble dans le Sud Luberon pour y découvrir la beauté de ses champs cultivés…
L’espace d’un instant, vous pouvez contempler le Moulin de Sannes proche d’Ansouis. Vous explorez l’Etang de la Bonde et ses alentours et partez à la rencontre d’une chapelle perdue dans le Luberon. Nous croisons ensemble le chemin du magnifique village de Cucuron…la suite, il vous revient de l’écrire.
Une expérience à vivre en cliquant ici :
https://www.youtube.com/watch?v=1cqisN58BUM